Je me rendais ce vendredi au départ de la Nocturne de Cosne (58). Un circuit sans difficulté avec un temps sec mais très très chaud ! La course était organisée par mon tout premier club, l’Union Cosnoise Sportive présidé désormais par Ludovic Lamare, un ancien de mes équipiers !

Un gros niveau était présent avec Toucy, Chalette, de nombreux parisiens ou encore Turgis, vainqueur il y’a 2 ans ! Durant 1h, la course ne va pas connaitre un seul temps mort ! 44km/h de moyenne dans la première heure sur un critos, ca parle ! Les très nombreuses primes viennent donner un peu plus de piquant à cette épreuve. Alors que la mi-course est passée, je fais une prime sèche avec J.Turgis dans ma roue. Celui-ci continue l’effort et me laisse sur place ! 4 coureurs l’accompagnent et ca sera la bonne ! Derrière, un contre se forme pendant que le peloton est en train de couler. Je décide à mon tour de partir dans un 2^ème contre. Nous allons revenir à 10s de la 5^ème place sans toutefois pouvoir rentrer. Bien sec, je ne pourrais pas faire l’effort seul pour boucher le trou. Je termine 22^ème.

Devant, c’est Jimmy Turgis qui s’impose devant 2 Chalettois, une nouvelle fois en surnombre mais non gagnant à l’arrivée.

Un critos qui à permis de bien déboucher les gicleurs comme l’on dit. A noté le nombre de spectateurs à l’arrivée qui avait répondu en nombres dans le centre ville de Cosne. Les primes ont-elles aussi contribué à la renommé de l’épreuve, toujours aussi bien noté, comme c’est très, très souvent le cas sur les épreuves Nivernaise…. Personnellement, je suis à ma place mais je voie quand même une différence avec le début de saison. La semaine de boulot et ses températures caniculaires ont laissé des traces et c’est forcément déjà bien entamé que l’on arrive le vendredi soir à la course.

Du coup, près un week end de repos complet chez mes parents dans le Morvan agrémenté de plusieurs orages dont 1 qui nous priva d’électricité durant 7h, je serais la semaine prochaine dans le Beaujolais pour un nouveau chantier, le GP de Fleury. Ciào